28 novembre
Les USA ont annoncé que grâce à l’exploitation du gaz de schiste, ils seront très bientôt totalement indépendants des autres pays pour s’approvisionner en énergie fossile. En Wallonie, si l’accent est mis avec raison sur les investissements dans les énergies renouvelables, il est également important de se demander si sous le schiste ardennais on peut trouver du gaz de ce type. Une telle exploitation pourrait créer de l’emploi, baisser le coût de l’énergie et nous rendre moins dépendant des autres pays. Daniel Senesael a interrogé le Ministre de l’énergie Jean-Marc Nollet sur cette question.
En Wallonie, les coupures d’électricité pour défaut de paiement ont progressé de 77 % en quatre ans. D’après la CWAPE, 6 191 coupures d’électricité sont intervenues en 2011, dont 2 228 en période hivernale et sur les 3 440 coupures de gaz décidées en 2011, 940 ont eu lieu en hiver. Pour le socialiste qu’est Daniel Senesael, ces chiffres sont tout simplement insupportables. Il a demandé au Ministre quelles mesures il compte prendre afin d’éviter ces coupures en période hivernale. Vous pouvez lire la question/réponse ici.
Le vote électronique est encore présent dans 39 communes wallonnes. Pourtant le nombre de problèmes relatifs à ce système ne diminue pas. Que du contraire ! Le secrétaire d’Etat à la numérisation de la fonction publique a d’ailleurs dit au lendemain des dernières élections : « les problèmes avec le vote électronique ne sont plus anecdotiques et les économies réalisées ne pèsent pas lourd face aux risques. » Daniel Senesael a interrogé le Ministre Paul Furlan à ce sujet. Lire ici la question/réponse.
Le « service minimum » en matière de transports publics consiste en l’idée, défendue par le MR et le cdH, d’imposer des prestations minimum aux travailleurs en cas de grève. Pour le PS, le « service minimum » est une atteinte aux droits des travailleurs et une atteinte au droit de grève. Nous défendons un service efficace, confortable, ponctuel et sûr, sans opposer les droits des usagers et ceux des travailleurs et sans remettre en cause la concertation sociale. Or, l’imposition d’un « service minimum », quelle que soit la manière, détruirait l’équilibre, le respect et la confiance entre les partenaires sociaux. Voir ici l’intervention de D. Senesael